J’ai appris par hasard que mon arrière-arrière grand-père a été conseiller municipal. Parmi de vieux papiers, mon père a retrouvé il y a quelques années ce courrier de la Société Nationale de Statistique Politique accompagné d’un beau diplôme… (Archives de la Pinsonnais – A3.0001 et A3.0002) Elections du 3 mai 1908 Et voici en bonus
Au XIXe, les terres de la Pinsonnais étaient beaucoup plus étendues qu’aujourd’hui, et la famille de la Pinsonnais pouvait aller de la route de Marsac (la Haye-Poil-de-Grue) à la route d’Abbaretz (le Patis-Jourdeau) sans sortir de chez eux, en passant par l’actuelle gare, la gendarmerie, l’hôpital (maison de retraite), les stades et salles de sports
Edmond II de la Pinsonnais suivit une partie de sa scolarité au collège Saint François-Xavier de Vannes (où ses fils et petit-fils furent aussi pensionnaires). En juin 1876, sa bonne conduite lui valut un témoignage mérité. (Archives de la Pinsonnais, A2.1003) Généalogie : Edmond H. de la PinsonnaisX Louise Jarret de la Mairie |Joseph-Edmond (Edmond
Je viens de retrouver un reçu concernant la scolarité d’Antoinette Hochedé, un peu plus ancien que les précédents comptes ici publiés, et un autre, un peu plus récent. Pour le premier, Eugénie n’était pas encore pensionnaire, ce qui laisse penser que les petites filles entraient en pension vers l’age de 11 ou 12 ans. La
Léon Duchesne de la Sicotière (1805-1895) est une grande figure alençonnaise, à la fois homme politique, érudit et historien. Il est le fondateur des Sociétés d’Horticulture, d’Histoire et d’Archéologie de l’Orne, d’Histoire Contemporaine, et du Musée des Beaux-Arts et de la Dentelle d’Alençon, fut avocat, député, sénateur, correspondant de l’Institut et Directeur de la Société
En 1890, Edmond II de la Pinsonnais achète une armoire à glace à Nantes, qu’il paye 120 francs, plus trois francs de frais de port. L’en-tête de a facture établie par A la Ville de Metz, magasin où il fit cet achat, est assez originale pour que nous la partagions ici. De quelle armoire s’agit-il
Ce document est le dernier compte de scolarité des deux sœurs Antoinette et Eugénie Hochedé de la Pinsonnais que nous ayons retrouvés. Je n’ai pas réussi à déchiffrer certains mots (en italique), n’hésitez pas à compléter (voir les comptes précédents). Compte de nos chères petites sœurs Hochedé depuis le 26 juillet 1828 11 mois musique
Voici la suite des comptes de scolarité d’Antoinette et Eugénie. En 1828, il n’y a qu’un seul compte, mais un peu plus long (voir les comptes précédents). Compte de nos chères petites sœurs Hochedé depuis le 24 8bre 1827 jusqu’à ce jour. Le 1er 9bre deux mois de musique : 16fLe 7 2 mois de
Antoinette, 13 ans, et sa sœur Eugénie, 11 ans, étaient en 1826 pensionnaires des Sœurs de la Visitation de Nantes, et elles y restèrent au moins jusqu’en 1829, années pour lesquelles nous avons retrouvé les comptes de leurs pensions. Elles y apprenaient entre autres à lire et à écrire, et bien entendu le catéchisme. Elles
Voici les deux comptes pour l’année 1827 (voir la première partie). Compte de nos chères petites sœurs Hochedé 1 quartier commencé du 24 fevrier dernier : 2503 quartiers au maître pour les deux qui échoiront le 24 mai : 843 mois de dessin à 20 f : 605 mis de musique à 16f : 803